Economie
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Moscou-Washington : les sujets qui fâchent
De la Syrie à l'Ukraine, en passant par la Corée du Nord, les sanctions, la guerre commerciale ou les questions d'ingérence… de nombreux dossiers sont minés. -
Trump qualifie la Russie, l'Union européenne et la Chine d'« ennemis »
A la veille de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Helsinki, le président américain a notamment accusé l'Europe de « profiter » des Etats-Unis. -
Adidas accélère dans les matériaux recyclés
L'équipementier allemand se donne six ans pour abandonner totalement le polyester vierge. -
Qatar 2022 : le prochain Mondial bat déjà les records de critiques
Si l'organisation russe de 2018 a été sans faille, la Coupe du monde qui sera organisée dans quatre ans a déjà suscité de nombreuses polémiques. Attribution, chantiers des stades, dates : tout ou presque est questionné. -
Le gouvernement retarde la nouvelle réforme des APL
La mise en place d'APL versées en fonction des revenus contemporains des allocataires attendra le printemps 2019 pour éviter tout couac technique. Les économies permises par la réforme sont revues à environ un milliard d'euros. -
Les ventes mondiales de PSA à un niveau historique
Le constructeur automobile français a écoulé 2,18 millions de véhicules au premier semestre, grâce à l'intégration d'Opel et à sa performance en Europe. Un record. -
Daimler-Mercedes ciblé à son tour dans le « Dieselgate »
Comme chez Volkswagen, un investisseur a porté plainte contre le constructeur premium pour manipulation de cours. -
Coupe du monde 2018 : quand les banques ratent leurs pronostics
A l'occasion de chaque compétition, les grandes banques s'exercent aux pronostics sur le futur vainqueur. Pour la Coupe du monde, elles se sont bien trompées. -
Coupe du monde 2018 : Nike prépare les maillots à deux étoiles des Bleus
La marque américaine se prépare à une éventuelle victoire des Bleus en finale, et prévoit de commercialiser les nouveaux maillots dès lundi matin. -
France-Croatie : en valeur de marché, les Bleus déjà champions du monde
Estimée à 364 millions d'euros sur le marché des transferts, l'équipe de Croatie est très loin de son adversaire de dimanche (1,08 milliard). Mais ce constat ne détermine en rien sa valeur sur le terrain.