Economie
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PSA fait une offre ferme sur Proton, Geely aussi
Le constructeur français veut racheter le groupe malaisien, en vente. Comme le chinois Geely, le propriétaire de Volvo. En revanche, Renault n’est plus dans la course. -
Les pilotes d'Air France favorables au principe d'une filiale à coûts réduits
Alors que les syndicats ont contesté la proposition de la direction, les pilotes ont approuvé à une large majorité. -
Les découvertes de pétrole dans le monde s'effondrent
+ VIDEO - Les volumes d’hydrocarbures conventionnels découverts en 2016 ont baissé de 25 % par rapport à l’année précédente. -
Altice, l'empire de Patrick Drahi, en embuscade aux Etats-Unis
Altice pourrait profiter de l’ébullition du marché américain des télécoms pour se renforcer Outre-Atlantique. -
Uber : une enquête ouverte après des accusations de harcèlement sexuel
Une ancienne ingénieure d’Uber dénonce le sexisme au sein de l’entreprise. Le PDG, Travis Kalanick, a réagi en ouvrant une « enquête urgente ». -
Brexit : Oxford pourrait s'installer à Paris
La prestigieuse université pourrait, pour la première fois en 700 ans d’existence, ouvrir un campus à l’étranger. En s'installant à Paris, elle continuerait à recevoir un financement de l'UE. -
Pétrole : l'Opep face au paradoxe de la limitation de l'offre
La remontée du prix du baril qui résulte des accords de limitation de production Opep/non-Opep remet dans le jeu certains gisements de pétrole de schiste aux Etats-Unis. Au risque de compromettre la remontée du prix du baril ? -
Pétrole : BP est sortie du rouge en 2016
Après un exercice 2015 marqué des pertes proches de 6,5 milliards de dollars, la major pétrolière britannique affiche un bénéfice net 2016 de 115 millions. -
Pétrole : Total prêt à repartir à l'offensive en 2017
Le résultat net ajusté de la major française a baissé de 21 % en 2016. Le groupe a listé dix grands projets à lancer dans les dix-huit mois. -
Pourquoi Kraft-Heinz a renoncé à s'offrir Unilever en moins de 48 heures
+ VIDEO - L’hostilité du gouvernement britannique a fait peur au groupe américain, qui était pourtant prêt à relever son offre et à conserver le nom d’Unilever.