Economie
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Allongement du congé paternité : ce que prépare le gouvernement
Le gouvernement souhaite allonger le congé paternité et envisage de le porter à 28 jours en incluant le congé de naissance. Plus qu'une obligation formelle, il entend accroître fortement les incitations. Les partenaires sociaux sont consultés en vue d'inscrire la réforme dans le prochain budget de la Sécurité sociale. -
Activité partielle de longue durée : le gouvernement fait un geste pour les employeurs
Le reste à charge des employeurs restera de 15 %, même pour les accords d'entreprise signés au-delà du 1 er octobre, et non pas de 20 % comme prévu initialement. La ministre du Travail, Elisabeth Borne, invite les entreprises « à se servir de ce dispositif » pour pallier une baisse durable de leur plan de charge. -
La Justice et l'Education nationale, mauvais élèves des services publics en ligne
Le taux de dématérialisation des démarches est faible pour ces deux ministères, tandis que les procédures numériques de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse suscitent peu de satisfaction chez les usagers, selon l'observatoire mis en place par le gouvernement. Celui-ci va devoir se battre pour remplir ses objectifs de numérisation des services publics d'ici à 2022. -
Coronavirus : le Conseil scientifique appelle le gouvernement à prendre des « décisions difficiles »
Le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, a estimé, ce mercredi, que le gouvernement « va être obligé de prendre un certain nombre de décisions difficiles », « dans les huit à dix jours maximum ». Dans un avis, le Conseil critique la mise en oeuvre de la stratégie d'isolement des personnes potentiellement infectées. -
Coronavirus : des pistes pour réduire le déficit abyssal de l'assurance-chômage
Augmentation de la cotisation patronale, affectation d'une fraction de TVA ou de CRDS : la direction de l'Unédic a présenté des pistes pour résorber la dette générée par l'épidémie de Covid. Le Medef renvoie le débat au groupe politique paritaire, l'instance de dialogue de haut niveau des partenaires sociaux. -
« Les 250 démarches administratives les plus usuelles seront accessibles en ligne en 2022 »
Amélie de Montchalin, la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, va disposer d'une enveloppe de 1 milliard d'euros pour la numérisation de l'Etat dans le cadre du plan de relance. « L'administration doit être en phase avec un pays et des entreprises de plus en plus numérisés », explique-t-elle dans une interview aux « Echos ». Son objectif est que les 250 démarches les plus usuelles pour les Français soient faisables en ligne en 2022. -
Territoires zéro chômeurs : l'extension du dispositif fait débat
La commission des Affaires sociales de l'Assemblée examine ce mercredi une proposition de loi portant à 40, soit 30 de plus, le nombre de territoires habilités. L'aval de Pôle emploi pour le recrutement de chômeurs ne sera pas retenu. -
L'action de groupe pour discrimination arrive au tribunal
Ce mardi, au tribunal judiciaire de Paris, s'est tenue la première audience concernant une action de groupe contre une entreprise pour discriminations syndicales. L'affaire oppose la CGT à Safran depuis mars 2017 et a été mise en délibéré. Applicabilité de la loi et dimension systémique de la discrimination étaient au menu des débats. -
La Justice et l'Education nationale, mauvais élèves des services publics en ligne
Le taux de dématérialisation des démarches est faible pour ces deux ministères, tandis que les procédures numériques de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse suscitent peu de satisfaction chez les usagers, selon l'observatoire mis en place par le gouvernement. Celui-ci va devoir se battre pour remplir ses objectifs de numérisation des services publics d'ici à 2022. -
Coronavirus : le Conseil scientifique appelle le gouvernement à prendre des « décisions difficiles »
Le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, a estimé, ce mercredi, que le gouvernement « va être obligé de prendre un certain nombre de décisions difficiles », « dans les huit à dix jours maximum ». Dans un avis, le Conseil critique la mise en oeuvre de la stratégie d'isolement des personnes potentiellement infectées.